"Life is not an easy matter... You cannot live through it without falling into frustration and cynicism unless you have before you a great idea which raises you above personal misery, above weakness, above all kinds of perfidy and baseness." Leon Trotsky
4 comments:
I love this guy. He rocks and he has good ideas. Also, being hott doesn't hurt his campaign
Ali Pickett is in love with this man. She has the hotts for the French!
sortir ou ne pas sortir de l'union européenne, telle est la question.
Faire un parti ouvrier qui défend les acquis des travailleurs n'a rien de contrerévolutionnaire, faudrait-il d'abord crever de faim pour pouvoir changer le monde ? Au contraire tout ce qui a été construit comme la sécu, les services publics, les entreprises nationalisées (qui sont plus que rare désormais), est un mur encore debout face à la barbarie qui se déchaîne et enfle encore. Il se trouve que la stratégie du capital est de contourner nos droits par l'union européenne, contre le cadre national ou ils existent. Choisir de soutenir schivardi qui est le seul candidat dans ces élections à parler de casser les traités qui contournent nos droits chèrement acquis, est un choix révolutionnaire réfléchis, productif, et reste dans la catégorie d'action non violentes. Parler de nationalisme parceque l'on défend des droits du cadre national contre les facteurs de destruction qui utilisent le cadre supranational est erroné.
Voici ce que dit le financial times du 20 mars "Economy
Why business need not worry too much about Royal
Compared with President Mitterrand’s sweeping programme of nationalisations, her proposals seem pretty moderate."
Le journal de la finance internationale dit qu'il ne faut pas s'inquiéter de ségolène car elle ne nationalisera pas. Comment le sait-il? car elle ne sort pas de maastrich qui l'interdit. Elle est donc qualifiée par la finance internationale et plus particulièrement les conservateurs de l'impérialisme américain.
Qui est contrerévolutionnaire cdelui de la sortie de l'ue, et qui se sert du cadre national pour sauver les droits ou celui qui dit que l'ue n'est pas un éléments de première importance et ce qu'il faut c'est un rassemblement de deuxième tour à gauche?
Non je préfère soutenir un schivardi qui fait un pas vers une réalité porteuse d'espoir de résistance, que d'aller sans arret butter la tête dans l'impasse du rassemblement de la gauche qui ne fait que ramener tout le monde dans le droit chemin des intérets du capital.
Allumer la loupiote verte Schivardi de l'issue de secours.
On est enfermé dans le marécage de la politique antitravailleurs de l'union européenne.
Il faut privatiser(fin des services publics), il faut liquider(1000000 d'emploi en moins), il faut se laisser piller(fond d'investissements pension et autres, retrait du savoir faire).
Le travailleur est considéré comme la variable d'ajustement pour resoudre l'incapacité du système a sortir de la surraccumulation du capital (endettement des etats, suraccumulation de capital par les créanciers: globalisation2 les échos 18 avril).
Alors que les prémices d'une grande recession s'expriment aux usa :“This isn’t just a story about failing subprime lenders and their customers. At the current pace, foreclosures will be a significant part of the real estate economy.raconte le Central Valley Business Times ”,
Les pays européens sont sommés de donner tout leur potentiel public (g7 du 13 avril 2007), et l'union européenne est chargée du sale boulot (G4 du même 13 avril). En fait englué comme nous sommes nous ne pouvons lever un petit doigt pour nous présever des destructions.
Mais SCHIVARDI 1, 2, 3 est là
¤Schivardi 1 sortie de l'union européenne, donc plus d'obligation.
¤Schivardi 2 nationalisation des secteurs clé, renationalisation des services publics, donc embauches massives.
¤Schivardi 3 supression de la dette (on ne garantie plus les obligations d'état, on fige les comptes et on fait une nouvelle monnaie), donc on relance une nouvelle economie hors de la crise financiere internationale grave.
Laissons le fin mot au new york times qui romantiquement déclare dans un article du 16 avril 2007 "Asterix and the odd allergy to the market : ...This state interventionism was remarkably successful, spurring the rapid postwar economic revival known as Les Trente Glorieuses" se hatant ensuite de montrer que c'est impossible.
Alors maintenant je n'ai pas peur.
Pas peur de sortir de l'union européenne.
Pas peur des nationalisations.
Pas peur d'une nouvelle monnaie.
Et donc pas peur des 11 autres candidats qui veulent rester dans le marécage, qu'ils relechissent.
Et donc pas peur de voter une conviction personnelle contre toute forme de culpabilisation.
Et donc pas peur d'un Lepen éternel épouvantail en voie de remplacement par un Sarkozy.
On ne me fera pas taire. On ne me fera pas voter autre chose que mon choix.
Pour une issue à la montée de la barbarie, votez SCHIVARDI.
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